« Cerbère, la cruelle et
monstrueuse bête,
Aboie et l’aboiement sort
de sa triple tête,
Contre les malheureux
plongés dans cet Enfer.
L’œil en feu, la crinière
immonde et toute sanglante,
Ayant peine à porter sa
gorge pantelante,
Il va les déchirant de ses
fers.
Eux hurlent sous la pluie,
et pour toute allégeance,
Ils présentent un flanc
puis l’autre à la souffrance.
Les malheureux pécheurs
bien souvent se tournent !
Quand Cerbère nous vit
entrer au sombre asile
Il nous montra ses crocs
menaçants, le reptile !
De rage et de fureur tous
ses membres tremblaient. »
Extrait
de la thèse La Mort cette inconnue,
par Francis RAZORBAK..
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