Pour
chacun, il existe un « Livre de la vie ». Les Orientaux l’appellent
« Archive
akhashique ». Sur ses pages sont consignés les actes et les
pensées des vies antérieures de chacun et les vies futures
nécessaires pour en apaiser le karma. L’esprit peut choisir de
commencer par celle-ci ou par celle-là, de régler des dettes
contractées dans une vie vécue au XVIIe siècle plutôt que celles
de sa dernière vie. Le mal infligé dans la dernière réincarnation
est peut-être déjà compensé par le bien effectué lors d’une
vie précédente.
Extrait
de la thèse La Mort cette inconnue,
par Francis RAZORBAK.
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