« Je suis anéanti, et les
parcelles de mon corps ont été jetées
Dans ce firmament qui est ma
patrie originelle
Toutes sont ivres, joyeuses,
amoureuses du Vin
De l’Invisible, par
crainte de cette prison qui est moi-même
Le temps abrégera cette vie
tumultueuse
Le loup de l’anéantissement
mettra en pièces ce troupeau
Dans l’esprit de chaque
homme règne l’orgueil ; pourtant
Les coups de la mort feront
baisser les têtes orgueilleuses. »
Rubai
Yat, Djalâl od Dîn Rûmî
(XIIIe siècle).
Extrait
de la thèse La Mort cette inconnue,
par Francis RAZORBAK.
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