« Le Sage aime cette vie
tant qu’elle dure et l’oublie ensuite pour une autre vie. Celui
qui est un avec l’âme universelle garde son moi où qu’il aille.
Le feu est au fagot ce que
l’âme est au corps. Il passe à un autre fagot comme l’âme
passe à un corps nouveau. Le feu se propage sans l’éteindre. La
vie continue sans cesse. »
Extrait
de la thèse La Mort cette inconnue,
par Francis RAZORBAK.
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